Roux et Cie. Une salariée candidate à la reprise basée à Kervignac (56) la PME est spécialisée dans la sous- traitance d'équipements électroniques militaire, a été placée en redressement judiciaire en juillet dernier cliquez ici pour ouvrir le dossier.

 

  *    *   *   *

ECOPLA          La proposition du CiiB de Mobiliser l’épargne locale rejetée, par méconnaissance, par les salariés et la SCOP, et en plus ils s'y prennent mal !  Dommage ECOPLA aurait pu rester Française !

  La proposition de CiiB (voir ci dessous) pour le jugement concernant la reprise d’ECOPLA par les salaries ouvrirait si elle aboutissait ouvrirait une voie de renouveau pour l’actionnariat individuel populaire.Mais elle a été rejetée par les salariés.

 

La cible visée par CiiB: utiliser ECOPLA pour amorcer le retour, comme en 1988, de l’Actionnariat Populaire créé et développé par Jacques DELORS avec l'arrivée de 8 millions d’actionnaires individuels dans les PME.

 

La proposition du CiiB qui suit a été faite pour le recours des amis d’ECOPLA du 5 octobre dernier. Elle est restée sans réponse,car  rejetée par les intéressés.

 

Cette proposition  à nouveau présentée par CiiB reste valable pour le recours tierce opposition qui sera présentée cette fois ci par les salariés le 3 novembre 2016, (demain à Grenoble) Mais il est fort à parier que les salariés, les syndicats, la SCOP à nouveau n'en voudront pas.

 

 Il en sera de même pour François Hollande à qui nous avons envoyé une proposition semblable mais adaptée à sa situation de Présidentiable .....

 

Ne parlons pas des multiples candidats  à la présidence ils semblent n’avoir jamais entendu parler d’ECOPLA et encore moins de l’actionnariat populaire malgré les dizaines de tweets qu’ils ont tous reçu !  (Est-ce leur absence d’expérience dans le domaine de l’actionnariat populaire ou la pression de leurs lobbys qui les contrarient ?)

 

RAPPEL DE NOTRE PROPOSITION

 Les salaries acceptent de devenir entrepreneurs pour sauver leurs emplois !  Bravo !

Ils ne doivent pas montrer le poing mais donner une vision, une image d’actionnariat populaire et rentable !

L’actionnariat populaire doit être un acte à la fois rentable et solidaire sur le plan économique et donc pour l’emploi.

En effet reprendre ECOPLA est un acte financier et économique

Aujourd’hui  Si le Tribunal accordait ECOPLA à la SCOP voici ce que pourrait faire la CiiB pour pérenniser ECOPLA car c’est là que se pose le problème pour le Tribunal de commerce et pour les salaries.

Selon l’expérience de 35 ans du CiiB il lui faut mettre en place sur ECOPLA une "sécurité épargnants" et la « pérennité de l’entreprise »

Ce n'est qu'après avoir rempli les conditions ci-dessus que l'actionnariat populaire pourrait intervenir Et pas autrement

1°/ Il faudrait que la SCOP accepte l'appui du CiiB. Alors celui-ci pourrait agir avec elle

2°/ Le CiiB proposerait alors ses services pour

a) Faire une étude de faisabilité afin de confirmer si le plan de reprise a de réelles chances de pérenniser l'activité

b) si oui le CiiB pourrait alors lancer un appel à souscription à l'épargne populaire

c) Le Ciib mettra sur place une « mini bourse actions ECOPLA »  (concept CiiB) pour permettre à cette épargne de vendre, acheter ou souscrire les actions et renouveler si nécessaire des augmentations de capital Puis si tout marche l'introduction sur le Marché Libre

jean Didier Salwa http://www.bourse-de-voisinage.com

ECOPLA revivra grâce à l'actionnariat populaire

Une réussite durable de la reprise par les salariés, ne peut réussir qu'avec la participation de l’actionnariat populaire. Cela  aurait alors des répercussions nationales et deviendrait un modèle économique, social, financier et solidaire. L’actionnariat populaire régional a déjà existé en France, dans les années 80, où, suite la création du Second Marché, plus de 10 millions d'actionnaires individuels ont investit dans plusieurs centaines de PME créatrices d'Emplois. aujourd'hui ce chiffre est tombé à 2,8 millions. Avant de lancer l'appel à l'épargne populaire CiiB devra démontrer qu'ECOPLA sera une entreprise pérenne et rentable.

 

Proposition ouverte de CiiB à l’attention des salariés d’Ecopla et de leurs conseillers, suite à la décision du 20 octobre de la Cour d’appel de Grenoble de rejeter le projet de reprise par les salariés

 

Le 21 octobre 2016

 

L’actionnariat Populaire est une solution parfaitement adaptée à ECOPLA pour réussir la reprise par les salariés, permettant de faire revivre et de maintenir l’activité en France.

 

L’actionnariat populaire dans les PME, dont CiiB est spécialiste depuis 1982, ne demanderait aujourd’hui qu’à investir dans des entreprises comme ECOPLA, et se développer à nouveau très fortement de la même manière que dans les années 80 où plusieurs millions d’épargnants ont investit dans les PME

 

Le 3 novembre, un nouvel appel sera examiné. Cette fois, les ex-salariés font appel en leur nom propre, et non pas au nom de la SCOP. Ils espèrent que cet ultime recours en justice sera examiné par la même Cour d’appel.

Ils avaient fait un appel dit «de tierce opposition» auprès du Tribunal de commerce contre l’ordonnance du 16 juin, en leur qualité d’ex-salariés, et non pas en tant que candidats repreneurs.

Ce recours leur avait été refusé, et c’est ce rejet qu’ils attaquent. La présidente de la Cour d’appel l’a laissé entendre : elle devrait, le 3 novembre, pouvoir livrer sa lecture du dossier sur le fond.

 

 

Voici comment les salariés auraient pu obtenir gain de cause dans la mesure où l’actionnariat populaire souscrivait au capital d’ECOPLA

 

Pour être recevable, la tierce opposition doit aussi apporter des faits nouveaux. CiiB propose et présente, ci-dessous, deux faits nouveaux :

 

1er fait nouveau 

L'article 720 du CGI étend les dispositions applicables aux cessions de fonds de commerce à toute convention à titre onéreux ayant pour effet de permettre à une personne d'exercer une profession, une fonction ou un emploi occupé par un précédent titulaire (même lorsque ladite convention ne s'accompagne pas d'une cession de clientèle).

 

La cession des machines et de l’outillage à Cuki Cofresco présentent le caractère onéreux requis pour l'application de l'article 720 du Code général des impôts c'est-à-dire la cession inclut sans l’indiquer, dans le cas présent, la cession du fonds de commerce et de le valoriser dans le prix de cession.

 

N.B : La cession des machines à un repreneur, dans le cas présent, est exceptionnelle puisqu’il n’existe aucune entreprise concurrente en France pour fabriquer les barquettes d’aluminium. Cette situation est exceptionnelle puisque l’entreprise qui achète le matériel se trouve dans une situation de monopole, et donc de reprise du fonds de commerce, alors que juridiquement celui-ci n’a pas été vendu mais l’acquéreur va toutefois en bénéficier totalement. Il est dans l’intérêt des créanciers de tenir compte de cet élément et de valoriser le fonds de commerce.

 

Or, le Tribunal de commerce de Grenoble n’a pas tenu compte, dans le prix de l’offre, de cette cession de fonds de commerce, et a accepté un prix anormalement bas au détriment des créanciers.

 

N’importe quel créancier est en droit de demander l’annulation de la vente des machines dans ces conditions. Il en est de même pour les salariés qui veulent sauvegarder leurs emplois.

Les salariés vont demander que la décision de cession des machines à Cuki Cofresco, concurrent Italien d'Ecopla, soit reconsidérée. Une proposition des salariés, incluant le fonds de commerce, peut-être désormais prise en compte.

 

En effet, selon la même logique que celle du Code des Marchés Publics : Si une offre paraît anormalement basse, le pouvoir adjudicateur peut la rejeter par décision motivée après avoir demandé par écrit les précisions qu’il juge utiles et vérifié les justifications fournies » (articles 55 et 142 du CMP en vertu duquel les dispositions s’appliquent aux entités adjudicatrices). Cet article qui vise les appels d’offre des Marchés publics correspond à la présente situation de cession des machines et pourrait d’ailleurs faire jurisprudence dans les Tribunaux de commerce.                                                                             

 

2ème fait nouveau

Les salariés disposent de 2,5 M€ apportés par différentes sources.

A ce montant peut s’ajouter de[h1]  l’épargne Populaire locale et régionale qui pourrait s’élever à 2 M€. Les salariés pourraient alors faire une offre nouvelle : Celle-ci proposant le prix d’achat des machines, outillage et l’achat du fonds de commerce pour un total de 2 M€.

 

Le cabinet CiiB propose d’apporter son savoir faire, avec le concours des différents conseils des salariés et de la SCOP, afin de présenter cette proposition au Tribunal d’ici le 3 novembre.

 

Les salariés, la SCOP, et leurs conseillers doivent auparavant approuver l’intervention de CiiB qui consistera à :

 

1°/ S’assurer de la faisabilité financière de la reprise par les salariés du matériel d’ECOPLA et de la capacité gestionnaire à assurer la pérennité de l’entreprise au-delà de 2022 (protection des épargnants) et vérifier les besoins de fonds propres pour les deux premiers exercices de la "société nouvelle ECOPLA".

 

2°/ S’assurer qu’il existe un réel intérêt pour des épargnants d’investir à long terme dans ECOPLA, aux cotés des salariés. Ce dont le CiiB est convaincu.

 

3°/ Adapter les statuts de la SCOP ou une nouvelle structure en S.A à l’actionnariat populaire.

 

4°/ Définir le montant des capitaux à collecter et les modalités précises de souscription au capital.

 

5°/ Mettre en place une mini-bourse d’échanges d’actions ECOPLA : Le carnet d’annonces.

 

6°/ Lancement de l’opération test d’appel public à promesses de souscription à ECOPLA

 

7°/ Recueillir auprès de l’épargne populaire locale et régionale des promesses de souscriptions au capital de la Société Nouvelle ECOPLA permettant à la fois le rachat au Tribunal et le financement en fonds propres assurant la pérennité et le développement d’ECOPLA

 

8°/ Remettre aux salariés, les promesses de souscriptions des épargnant, qui les produiront au Tribunal

 

Schéma en besoin en financement en fonds propres d’ECOPLA

 

Les salariés candidats à la reprise d’ECOPLA auraient à ce jour réussit à lever de 2,5 millions d’euros (sous forme subvention non remboursable?). Ce n’est pas suffisant pour relancer l’activité et assurer à la fois le rachat, la pérennité et le développement d’ECOPLA.

 

 

Pour solliciter l’épargne populaire à investir dans ECOPIA, cette épargne doit être sécurisée sur 3 points

 

1°/ Avoir des chances réelles d’effectuer un placement sécurisé et rentable et pérenne

 

2°/ Sécurisé avec un moyen de revendre ses actions (carnet d’annonces de CiiB) et surveillé par l’association Love Money.

 

3°/ engagement d’inscrire les actions dès la troisième année au Marché libre si les résultats sont positifs

 

Contact CiiB :

10, rue de Montyon 75009 Paris

Tél. : 01 42 46 11 73  Email : contact@ciib.fr

Sites : http://www.ciib.fr   et   www.bourse-de-voisinage.com

*  *  *  *  *

 5 octobre 2016

 

Les salariés acceptent de devenir entrepreneurs pour sauver leurs emplois. Bravo !

 

Ils ne doivent cependant pas montrer le poing mais plutôt donner leur vision sur les perspectives de développement et de retour aux résultats positifs pour ECOPLA.

 

L’actionnariat populaire doit être, pour les épargnants, une démarche solidaire et rentable.

 

En effet, investir dans la reprise d'ECOPLA est un acte financier et économique qui ne peut pas se limiter à sauver coûte que coûte provisoirement des emplois. Il s'agit, au préalable, d'organiser le développement et la pérennité d'ECOPLA.

 

Si, le 20 octobre, le Tribunal accorde à la SCOP le rachat d'ECOPLA, voici ce que pourrait faire CiiB pour pérenniser ECOPLA. Car c’est là que se pose le problème, pour le Tribunal de commerce comme pour les salariés.

 

 

Selon l’expérience (de 35 ans) de CiiB en matière d'offre au public d'actions de PME, il serait possible de mettre en place pour ECOPLA :

- la Sécurité des épargnants

- la pérennité de l’entreprise

 

Ce n'est qu'après avoir respecté ces deux premières conditions que l'actionnariat populaire pourrait intervenir.


1°/ Il faudrait que les salariés repreneurs acceptent l'appui de CiiB.

Alors CiiB pourrait agir avec eux, et l'ensemble des appuis extérieurs qui accepteraient de se mobiliser, pour mettre en place un plan de reprise suffisamment réaliste à soumettre au Tribunal qui délibérera jeudi 20 octobre.

 

IL EST ENCORE POSSIBLE EN URGENCE (en une dizaine de jours) DE CONSTRUIRE ET D'APPORTER AU TRIBUNAL DES ÉLÉMENTS POSITIFS POUR FAIRE BASCULER POSITIVEMENT, EN FAVEUR DES SALARIES, LA DECISION DU DÉLIBÉRÉ.

 

2°/ CiiB proposerait alors ses services pour :

 

  a) Réaliser une étude de faisabilité afin de confirmer si le plan de reprise a de réelles chances de pérenniser l'activité

 

  b) Si oui, CiiB pourrait alors mettre en place un appel à souscription à l'épargne populaire

 

  c) Ciib mettra en place une mini bourse actions ECOPLA (concept CiiB)pour permettre aux actionnaires individuels de vendre, acheter ou souscrire les actions. Et renouveler, si nécessaire, des augmentations de capital. Puis, si l'entreprise se développe à nouveau,  réaliser l'introduction sur le Marché Libre.

Jean SALWA www.bourse-de-voisinage.com

 

Les salariés veulent reprendre ECOPLA suite à sa mise en liquidation judiciaire. La société avait réalisé 22 Millions d'€ de chiffre d'affaires en 2013 pour tomber à 13 M€ en 2015.

Aux salariés qui activent l'initiative :
Bravo ! mais ce n'est qu'un début, le plus dur est à venir : rendre l'exploitation bénéficiaire et organiser sa pérennité.


Il se trouve que CiiB veut relancer l'actionnariat populaire, et pourrait essayer d'en faire bénéficier ECOPIA et redévelopper en France le concept  d'Actionnariat populaire comme il y avait contribué dans le passé :

 

En effet, alors qu’en 1981 il y avait 2 millions d’actionnaires en France, ce chiffre a progressé jusqu’à 10 millions en 1991. Ce qui a très fortement contribué à développer efficacement l’économie et  l’emploi en France.

 

Ceci s’est réalisé grâce à une décision de Jacques DELORS d’appliquer l’idée de créer le Second Marché, un moyen populaire de devenir actionnaire de Petites et Moyennes Entreprises en utilisant l’organisation des 7 bourses régionales Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nancy, Nantes et Paris.
L’actionnariat populaire était né.

 

Cet actionnariat populaire a fortement contribué à arrêter la progression du chômage et relancer l’économie tout en permettant aux épargnants de faire, généralement, de très bons placements.

 

Cet actionnariat populaire s’est arrêté en 1991. La fermeture des 7 bourses régionales ayant inversé le mouvement.

 

Aujourd'hui, il y a moins de 2,8 millions d'actionnaires individuels en France.

8 millions d'actionnaires ont disparu !

 

CiiB, qui était à l'époque conseil de Jacques DELORS sur ce sujet, veut relancer aujourd’hui l'actionnariat populaire en France.

 

Objectif :

Faire revenir au capital des entreprises, 4 millions d'épargnants d'ici 5 ans grâce à des règles et techniques nouvelles (concept de bourses locales en interne) et sécuriser et pérenniser sur le long terme le placement de leur épargne dans les PME.

 

CiiB pourrait tester son projet avec ECOPLA ; à condition que les salariés et la SCOP s'associent au plan de CIIB (voir ci-dessous).

 

Ce pourrait être, du même coup, un test pour accélérer la relance l'actionnariat populaire à travers la France et ses régions

 

Si le Tribunal accordait ECOPLA à la SCOP, voici ce que pourrait faire CiiB pour ECOPLA :

Selon le concept "sécurité épargnants" du CiiB : Ce serait alors un modèle ! Mais...

 

...Ce n'est qu'après avoir rempli les conditions ci-dessous (organiser la pérennité d'ECOPLA à long terme), que l'actionnariat populaire pourrait intervenir. Et pas autrement !

 

1°/ Il serait nécessaire que la SCOP (créée par les salariés) demande l'appui de CiiB. Ce n'est qu'ensuite que CIIB pourrait agir en partenariat avec celle-ci (et la confédération générale des SCOP)

2°/ CiiB proposerait alors ses services pour :

  a) Réaliser une étude de faisabilité afin de définir si le plan de reprise a de réelles chances de relancer et pérenniser l'activité d'ECOPLA.

  b) Si l'étude démontrait le réalisme du plan de reprise (1) et définissait les besoins de financement sur 5 ans, CiiB pourrait alors élaborer un document d'appel à souscription (avec ou sans offre au public) afin de rassembler l'épargne populaire localement et / ou régionalement.

(1) Afin d’intéresser les épargnants et préventivement les protéger, les conclusions de l'étude devront démontrer que les perspectives de développement sont bien cernées et seront maitrisées avec non seulement une survie d'ECOPLA  aussi une poursuite de développement potentiel sur les dix à venir voir au delà. Cela nécessite des engagements, des objectifs, une organisation à mettre en place..

  C) Il est nécessaire de veiller préventivement à la mise en place d'une mini bourse personnelle à ECOPLA (concept CiiB) pour permettre aux épargnants de vendre, acheter ou souscrire ses actions et renouveler tous les ans, si nécessaire, des opérations d'appel à souscriptions pour augmenter les fonds propres d'ECOPLA si besoin (voir même, de prévoir dans un second temps l'introduction en bourse, sur le Marché Libre)

 

D) La Scop doit adhérer à l'association Love Money qui aura pour mission de veiller préventivement (comme le ferait l'AMF) à sauvegarder les intérêts de l'actionnariat populaire qui investira dans ECOPLA.

(à suivre sur www.bourse-de-voisinage.com )

 

Place gre'net et Dauphiné Libéré : La Région verse une aide exceptionnelle de 400 000 euros à Ecopla

 La Région verse une aide exceptionnelle de 400 000 euros au fabricant de barquettes en aluminium Ecopla, afin de soutenir le projet de reprise en Scop par ses salariés.

 Une somme qui « doit permettre de conforter le financement nécessaire au redémarrage de l’activité et au projet de reprise qui passe en audience d’appel le 5 octobre prochain ».

 Confrontée à de grosses difficultés financières, la société Ecopla, installée à Saint-Vincent de Mercuze depuis 1960 et spécialisée dans la fabrication de barquettes alimentaires en aluminium, avait été placée en liquidation judiciaire en mars 2016.

 Un groupe de salariés luttant depuis plusieurs années pour reprendre leur entreprise passée entre les mains d’actionnaires étrangers successifs, a alors monté un projet de Société coopérative et participative (Scop) avec le soutien de clients et partenaires financiers.

 

Enjeu de la reprise en Scop : sauver 77 emplois

 Après avoir réuni 2,3 millions d’euros, dont plus de 55 000 euros grâce à la plateforme de financement participatif Ulule, les salariés ont pu proposer une offre de reprise au tribunal de commerce de Grenoble. Mais celui-ci a finalement retenu le 16 juin dernier l’offre du groupe italien Cuki Fresco, proposant de racheter le parc de machines pour 1,5 million d’euros, sans les 77 salariés. Suite à quoi l’Union régionale des Scop Rhône-Alpes a lancé une pétition pour soutenir le projet de Scop qui a reçu environ 3 700 signatures.

 

Depuis, les ex-salariés regroupés dans une association, Les amis d’Ecopla, a fait appel de la décision du tribunal de commerce. L’audience est fixée au 5 octobre.

 

NB : l’article a été modifié le 25 septembre 2016.

 

 

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La Région verse une aide exceptionnelle de 400 000 euros au fabricant de barquettes en aluminium Ecopla, afin de soutenir le projet de reprise en Scop par ses salariés. Une somme qui « doit permettre de conforter le financement nécessaire au redémarrage de l’activité et au projet de reprise qui passe en audience d’appel le 5 octobre prochain ». Confrontée à de grosses difficultés financières, la société Ecopla, installée à Saint-Vincent de Mercuze depuis 1960 et spécialisée dans la fabrication de barquettes alimentaires en aluminium, avait été placée en liquidation judiciaire en mars 2016. Un groupe de salariés luttant depuis plusieurs années pour reprendre leur entreprise passée entre les mains d’actionnaires étrangers successifs, a alors monté un projet de Société coopérative et participative (Scop) avec le soutien de clients et partenaires financiers. Enjeu de la reprise en Scop : sauver 77 emplois Après avoir réuni 2,3 millions d’euros, dont plus de 55 000 euros grâce à la plateforme de financement participatif Ulule, les salariés ont pu proposer une offre de reprise au tribunal de commerce de Grenoble. Mais celui-ci a finalement retenu le 16 juin dernier l’offre du groupe italien Cuki Fresco, proposant de racheter le parc de machines pour 1,5 million d’euros, sans les 77 salariés. Suite à quoi l’Union régionale des Scop Rhône-Alpes a lancé une pétition pour soutenir le projet de Scop qui a reçu environ 3 700 signatures. Depuis, les ex-salariés regroupés dans une association, Les amis d’Ecopla, a fait appel de la décision du tribunal de commerce. L’audience est fixée au 5 octobre. NB : l’article a été modifié le 25 septembre 2016. Mots-clés : Cuki Fresco, Ecopla, région, Scop, tribunal de commerce Email this to someoneShare on FacebookShare on Google+Tweet about this on Twitter

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l'Humanite du 17 juillet 2016

 

Ecopla, l’incompréhensible blocage d’une reprise en Scop Chez Ecopla, dernier fabricant français de barquettes en aluminium ... En 2013, Ecopla réalisait un chiffre d'affaires de 22 millions d'euros. (suite..)

 

 

 

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